09 septembre 2007

Lubumbashi : le ministre de l'Environnement vole au secours de CHEMAF accusée de "pollution", rappel (spontané ?) de ses actions sociales !...

Source : digitalcongo.net,La Prospérité
Date de survenance: 09 septembre 2007
Date de première publication sur Internet :10 septembre 2007

Texte intégral :
Pollution : le ministre de l’Environnement fustige les attaques en règles contre Chemicals of Africa au Katanga.

Seul un rapport du ministère de l’Environnement peut confirmer ou infirmer l’existence d’une pollution ce, après une mission d’enquête.
C’est ce que vient de déclarer le ministre Didace Pembe.

La revisitation des contrats miniers devient, décidément, un arbre qui cache toute une forêt.
Derrière cette opération initiée par le Gouvernement Gizenga, sous prétexte de rétablir l’Etat congolais dans ses droits, se profilent, à l’horizon, plusieurs conflits.

Si, le réexamen des dossiers ne permet pas de dénicher quelques méfaits, des raisons sont désormais trouvées ailleurs pour justifier une remise en cause des contrats miniers auxquels l’Etat par son Ministère des Mines, s’était pourtant librement engagé vis-à-vis des opérateurs privés.

Le remue-ménage observé ces derniers temps, au Katanga, province réputée pour sa richesse en gisement cuprifère et de ses dérivés, est un signe avant-coureur d’une redistribution des cartes qui ne dit pas encore son vrai nom.

II s’agit, en réalité, d’un véritable jeu d’intérêts.
L’argent étant, naturellement, le nerf de la guerre.

Didace Pembe, l’actuel Ministre de I’Environnement, l’a si bien reconnu ce week-end, en condamnant sans ambages, les attaques en règle contre la Société Chemaf, une filiale du Groupe Shalina, l’un des géants de l’industrie pharmaceutique opérant en RD. Congo.

L’émission « Okapi Action » lui a permis de dire tout haut ce qu’il pensait de l’accusation formulée contre Chernaf concernant l’éventuelle pollution du quartier Tsha Milemba à la suite des activités de son usine de transformation.

Pour lui, en effet :
« accuser Chemaf de pollution c’est facile.

Mais, les gens devraient savoir qu’il n’y a qu’un rapport du ministère de l’Environnement qui peut le confirmer.

Puisque de toute la multitude des entreprises qui sont opérationnelles dans la ville de Lubumbashi, je trouve que Chemaf est moins dangereuse que beaucoup de ses concurrentes et pourquoi pointe-t-on toujours le doigt à Chemaf ?
».

Didace Pembe s’est dit, par ailleurs, nettement surpris qu’il y. ait des attaques en règle contre cette société.

Et pourtant, a-t-il insisté :
« parmi les sociétés qui polluent là bas, Chemaf est peut-être celle qui pollue moins ».

Ses propos ont été clairs à ce sujet.
Tenez. Didace soutient ceci :
« Mais pourquoi on s’attaque tellement à cette société ?
C’est un jeu d’intérêts.
Mais, je ne veux pas me livrer à ces genres de considérations.
Lorsque je vais envoyer mon équipe de contrôle à l’audition de Chemaf et qu’il s’avère que Chemaf est en train de fonctionner normalement en respectant les règles et qu’il y a une nette évolution concernant le respect de l’environnement, pourquoi voulez-vous qu’on aille l’inquiéter ?
».

Cette réponse somme toute dosée coupe, à elle seule, l’herbe sous les pieds des détracteurs de Chemaf; de ceux qui ne jurent plus que par sa mort lente mais sure.

Heureusement que l’autorité émet sur une autre longueur.
Elle s’en tient, elle, au respect des normes nonobstant ces élucubrations enregistrées, fruit d’une campagne gratuite de dénigrement pour une entreprise consciente de ses responsabilités environnementales.

Les actions à haute portée sociale dans les milieux fondant l’essentiel de ses activités industrielles, ne sont plus à compter.

"C’est une tradition", a-t-on appris d’un Lushois qui s’est confié à La Prospérité, sous le sceau de l’anonymat.

Chemaf investit dans les oeuvres de bienfaisance.
La santé, la culture, l’éducation et les infrastructures font partie de ses domaines de prédilection.
De manière ostensible, Chemaf aligne une série d’actes qui témoignent, d’eux-mêmes, de son souci de contribuer au bien-être des congolais.

Dans les milieux ruraux, il a érigé des centres de santé, des ponts sur les routes de desserte agricole.
Plus dune fois, Chemaf a livré gratuitement, des produits pharmaceutiques à des hôpitaux démunis du Katanga.
Des exemples existent.
II suffit d’interroger ses responsables pour s’en tirer avec une longue liste.

Du moins, Saint Eloi Lupopo en sait quelque chose sur le sponsoring dont il bénéficie de la part de Chemaf qui accroît, chaque jour, ses capacités en vue d’élever la conscience de la jeunesse congolaise à la mesure des défis des chantiers du Chef de l’Etat, M. Joseph Kabila Kabange.
Les emplois offerts aux congolais, n’est-ce pas une réponse à rappel de ces 5 chantiers?
II n’y a que des sorciers, en tout cas, qui peuvent penser autrement.

De bonne foi, Chemaf développe un programme qui intègre, de façon dynamique et progressive, le réajustement des salaires de ses employés.

Bien d’avantages sociaux accompagnent, très souvent cette vaste entreprise d’investissement dans l’homme.
L’accent mis sur son personnel fait que Chemaf soit une société modèle.
Des groupes indépendants travaillent étroitement avec son personnel pour œuvrer à la protection de la faune, des terres humides ainsi que des autres ressources naturelles du pays.

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